Sous les cerisiers, le monde ralentit. Le vent, les pierres, les fleurs deviennent des compagnons de silence. Ce poème est un sentier méditatif, une pause dans le tumulte, une respiration offerte à l’âme. Voici : Le rêve sous les cerisiers.
Ce beau poème prendra bien sa place dans : Le jardin des poèmes.
Merci de marcher avec moi sur ce chemin de gravier, là où les papillons portent les secrets et où l’instant devient éternité. Ce texte est une offrande de calme, un tableau de lumière intérieure. – Françoise Macke
